Marina Cavazzana-Calvo est l’espoir des enfants atteints de maladies sanguines héréditaires comme les bébés-bulle qui naissent sans défenses immunitaires mais elle ne se contente pas d’être l’une des plus grandes spécialistes de la thérapie génique en maillot de france.Au-delà de son engagement scientifique, elle n’hésite pas en effet à militer pour une plus grande place des femmes dans la société, notamment dans les instances dirigeantes de l’hôpital et les laboratoires de recherche. MON ACTIVITÉ Vos amis peuvent maintenant voir cette activité Supprimer X Arrivée à Paris en 1985, elle dirige aujourd’hui le département de biothérapie de l’hôpital Necker-Enfants Malades à Paris où elle pratique des greffes de cellules souches du sang (prélevées dans la moelle osseuse), un traitement qui permet de soigner des maladies du sang comme les leucémies.Une quarantaine d’enfants sont soignés chaque année dans le service d’immuno-hématologie pédiatrique qu’elle dirige.Derrière une voix douce, agrémentée d’un léger accent italien, et de profonds yeux bleus, cette femme affable cache une détermination sans faille, même si les objectifs qu’elle se fixe peuvent paraître modestes."J’espère, dit-elle, trouver des moyens de rendre les greffes plus efficaces et les moins dangereuses possible".Rien pourtant ne la prédisposait à la pédiatrie. "J’ai fait médecine pour ne pas avoir à faire des choix trop tôt". Une rencontre avec un pédiatre à Padoue, en maillot de l italie, son pays d’origine, puis une autre à Paris avec Alain Fischer, un pionnier des greffes de cellules souches partiellement compatibles, scellent son destin.Avec ce spécialiste de l’immunologie pédiatrique, elle se lance dans la greffe de cellules souches. "La thérapie génique s’est présentée comme une évidence" se souvient-elle.Car si les greffes se passent généralement bien lorsqu’on trouve un donneur familial compatible (90% de chances de succès), il n’en va pas de même lorsque le donneur n’est que partiellement compatible (les chances de succès tombent à 50%, voire à 30%).En 1999, elle se lance avec Alain Fischer et Salima Hacein-Bey-Abina dans l’aventure des "bébés-bulle" qui leur vaudra une réputation internationale car c’est la première fois qu’on démontre l’efficacité d’une thérapie génique dans une maladie.Dix enfants atteints d’un déficit immunitaire combiné sévère lié au chromosome X et qui doivent vivre à l’abri dans des chambres stériles, d’où leur surnom, sont traités par thérapie génique à l’hôpital Necker. Cette technique consiste à insérer une copie normale du gène altéré dans les cellules souches des enfants malades.Neuf sur dix réagissent rapidement au traitement mais en 2002 l’expérience doit être interrompue après la découverte de leucémies chez quatre des neuf enfants. Un en mourra.La gravité des effets indésirables choque l’équipe qui ne déclare pourtant pas forfait. Un nouveau "vecteur viral" destiné à transporter le gène médicament est mis au point et un 2e essai est lancé en 2010, avec de nouveaux malades traités à Paris, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.Mme Cavazzana-Calvo juge les premiers résultats de ce nouvel essai "très prometteurs" même si les conclusions ne devraient pas être publiées avant un an ou deux.14 ans après le premier essai, le bilan est loin d’être négatif : huit enfants sont toujours vivants dont sept grâce à la thérapie génique, soit un taux de guérison de 85%.Ses travaux lui ont valu d’être désignée "femme scientifique" de l’année 2012 dans le cadre du prix Irène Joliot-Curie décerné par le ministère de la Recherche. Elle s’est prononcée publiquement en 2011 en faveur de l’instauration de quotas pour faire avancer les choses.Sa position sur les manipulations génétiques reste prudente : "j’y suis favorable mais ça dépend desquelles" note-t-elle.Lorsqu’il lui reste un peu de temps, elle écoute de la musique. Elle apprécie également l’opéra, la lecture et le sport, mais sans préférence particulière. "J’essaie beaucoup de choses car je suis plutôt velléitaire" dit-elle en évoquant ses passe-temps.

Kit
Celtic football Club a dévoilé son nouveau 12/13 Nike maillots de foot 2013, qui est disponible ici

La saison 2012/13 est configuré pour être un extraordinaire, comme Celtic football Club, fondé en 1888 fêtera son 125e anniversaire. Nike a créé des kits spéciaux pour cet anniversaire.

Le away jersey est un classique moderne, inspiré par la fière histoire du club. Le maillot se concentre sur un design contemporain - elle reste fidèle aux racines celtiques et est encerclé, mais d’une manière plus tonale.

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Les arceaux sont de couleur anthracite au noir, ce qui donne le maillot un look très contemporain et sophistiqué. L’écusson du club est entouré d’un travail celtique-noeud. Héritage irlandais du club se traduit par la couleur verte, blanche et or en accentuant sur ​​les manches et les chaussettes qui reflètent Celtic fortes racines irlandaises.

Celtic chef de la direction Peter Lawwell a déclaré: «Nous sommes très heureux avec le nouveau kit de suite pour la saison prochaine et nous sommes sûrs qu’il sera populaire auprès de nos supporters. Nous sommes très impatients de célébrer notre 125e anniversaire et les kits qui ont été développées sont un hommage à cette saison étape.

"Une fois de plus, nous tenons à remercier tous les deux de Nike pour leur travail dans ce domaine et, bien sûr, Tennent notre sponsor maillot avec lequel nous avons bénéficié d’excellentes relations et qui ont fait une contribution importante pour le club."

Steve Annand, Commercial Directeur Général de Tennent Caledonian Breweries, a déclaré: "En tant que sponsor principal du club, d’une association près de 40 ans avec le football écossais, nous étions fiers de jouer notre rôle dans le développement de la chemise de maisons neuves et de sentir cette nouvelle suite kit sera un autre gagnant avec les fans.

Newcastle United imported so many Frenchmen in January that the Toon Army may soon be marching to Le Marseillaise instead of Blaydon Races, and Swansea are not short of foreign players either, but this feisty scrap was all about two yeoman Brits. Luke Moore, a man of the Midlands, rarely gets a game for the Swans these days, but he won this one in the 85th minute, breaking the heart of the stalwart Geordie man of the match, Steven Taylor.

Ten minutes after his introduction from the bench, Moore’s first soccer jersey of footballjerseyseu.com goal for a year gave the Welsh team their first home and away double over Newcastle since 1980. Prodded in at close range, the decisive strike punished poor defending by Davide Santon and Mapou Yanga-Mbiwa who, together at the far post, made a hash of clearing Wayne Routledge’s left-wing cross.

The result left Alan Pardew "absolutely frustrated and disappointed that we didn’t get a draw, which was the least we deserved", and it was easy to sympathise with Taylor in particular, whose lionhearted performance at centre-half bordered on the heroic.

Swansea started as if they were going to repeat the 5-0 spanking they gave Bradford at Wembley last weekend. Bristling with confidence and creaming the ball around in imperious fashion, they threatened to take the lead three times in the first 15 minutes. Instead Taylor thwarted them at every turn.

He cleared off the goalline from Ashley Williams, who ought to have scored at close range, then was first to the loose ball when Rob Elliot spilled a Jonathan De Guzman shot. The predatory Michu was lurking, as ever, and would certainly have scored but for Taylor’s intervention. Garry Monk, deputising for the injured Chico Flores, might also have done so from De Guzman’s free-kick, but headed over when well placed.

Newcastle weathered the storm and battled their way into the game. Unlike Bradford last week, they were more than willing to get in the Swans’ faces and rough them up a bit. Pardew was certainly in Leon Britton’s face as the two teams went down the tunnel at half-time, an exchange of unpleasantries seeing the two men separated by others. Asked about the incident afterwards, the Newcastle manager said: "It was nothing." Out on the pitch, there was another heated verbal exchange between Williams and Moussa Sissoko. Spiky stuff.

Angel Rangel’s powerful drive brought a notable save from Elliot, who improvised with his feet to repel De Guzman’s follow-up shot. The ball looped up and over the goalkeeper, leaving Taylor to make another clearance from under the crossbar.

Newcastle’s first chance of consequence was delayed until the 56th minute, when Papiss Cissé beat Swansea’s offside line but wasted an inviting opportunity by blazing wildly over the target. Two minutes later Yoan Gouffran did exactly the same, then Yohan Cabaye, shooting from 25 yards, was denied by the fingertips of Michel Vorm, who touched the ball on to his crossbar and over. Now it was Newcastle making the running, with Swansea hanging on, and Vorm distinguished himself again, flying to his left to keep out a goalbound thunderclap from Sissoko.

Pardew’s team seemed likeliest to win it but Ki Sung-yeung, on as substitute, tested Elliot at close range and Moore’s decider left Michael Laudrup setting his players a new target of 50 points and a top-10 finish.

He said: "If we can do that, it will be outstanding for this club. Already we have done more than was expected ofus."